des poèmes ça va??

Pause

j'aimerais que le temps se fixe, l'espace d'un instant
et me laisse admirer la beauté des temps qui courent
Je veux toucher le ciel du bout des cils et vivre a fond dans l'indécile
Imbécile, mais heureuse! je ne veux plus savoir que la vie s'arrete
car tout aura perdue son sens quand la terre arretera sa course mystérieuse.
assez de vos espoire infertile, assez de vos désir, je veux vivre, je suis puérile!

Laissez moi savourer l'arret du temps, laissez moi admirer les nuages
L'esprit en bazar car j'aime!! ça
me fais du bien, La tête ailleur, et ailleur dans le coeur,
le coeur à l'envers et l'envers de ma tête enclin au délice glace-vanille
papille, extasie, héroine mélancolique et herbes folles.

tout n'est que désordre et incarnation de la carnation,
symbiose parfaite entre la logique et l'improbable vérité mensongère qui
pétrifie les entrailles de la terre depuis le premier jour:
Sommes nous imposteurs? sommes nous une erreur?
Ou bien la créature, la chimère d'un esprit fou qui voulait se voir en nous?

Si rien n'a de sens, ma poésie en prend un a travers votre incompréhension

Monde magique et parrallèlle qui s'emmerveille de plus en plus
face a vos regards intrigés qui se demandent où je veux bien vous mener.
nul part, justement, là tout est l'art.
tel est mon paradis, tel est mon territoir
je vous ammene vers un nul part, ailleur, loin d'ici et du monde qui tourne rond,
nul part au temps imbécile que l'indice débile inbibe d'incipide parole
ma poésie elle est ainsi, elle est nulle, part et tout à la fois.

Que le temps se fixe, l'espace d'une éternité
et me laisse respirer la vivacité du silence et de l'imcompréhensible
pour créer la poséie des paroles de LoU

J'aime beaucoup

miki...

qui es tu ?

toi qui hantes mes pensées, qui brouille mes idées,
Qui es tu pour venir me perturber et me détourner
du droit chemin?
Valkyrie, traitresse, vengeresse, diablesse?
Toi qui me blesses par ton souvenir emprum d'in-fini
chaque matin et me laisse enclin à la tristesse.
Qui es tu, toi, dont je ne vois pas le visage?
Toi au regard pâle et vide, au trait abstrait
furtivement dessiner?

Car Sous mes doigts, je t'imagine,
Carressant la courbe de tes hanches,
Efleurant la fine fleur de ta peau,
Redessinant les contours oublier, user par les autres, de ton sourir
Sentant frémir ton corps à chaque intonation, chaque mouvement
Et dans ton regard electrisant, m'y sentir me vider entierement.
Epousant les formes de tes seins avec ma paume
Et dans ton cou, si frêle, au creux de ma main, sentant ton poul
A chaque pulsion de seconde, ainsi que ton coeur accelèrer.
Honorant le berceau qui donne vie par des baisers, des soupirs, des offrandes à n'en plus finir
Et me coucher enfin sur le nombril du monde,
Et dormir en paix, dormir réconfortée
D'avoir pu aimer la plus belle créature qui puisse exister

Je t'imagine bien O rêve imprononcer mais
Qui es tu déesse incertaine? toi qui viens quand la nuit est claire
Quand la lune opère, par ses pouvoirs mythiques,
sur moi l'intense désir absolut pourtant interdi?

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extrait d'un jour ici

Je voulais croire en l'Amour
C'est lui qui n'a pas cru en moi

Dès le premier jour, me regardant de travers
Telle une intouchable, immonde, répugnante
Choses, je faisait déjà partie du musée de ses horreurs.

Je suis une fille de joie gratuite, qu'on baise entre deux tour de piste.
Une putain au milieu de la banquise
Froide comme vos coeurs qui me méprise.

C'est pas moi, c'est la vie qui a décidé
Que pour une fille comme moi jamais il n'y aurait
Autre choses que le physique intense du vide.

Dans le chaos de cette irremédiable tragédie
Jouant avec force et stratégie
J'ai essayé tant bien que mal a être aimé, mais

J'ai voulu croire en l'amour
C'est juste lui qui n'a pas cru en moi.

hey baby